Troisième et dernier jour de Rock en Seine, c’était il y a trois semaines déjà… Je sais, je suis absente en ce moment mais de nouveaux posts sortiront très prochainement avec toutes les nouvelles choses musicales ce mois-ci !
En ce dimanche pluvieux, beaucoup de groupes et de marche à Saint Cloud hé oui 2km de long. Les concerts ont débuté vers 14h30, et pour ma part, direction la scène de l’Industrie pour découvrir St Lô, groupe français assez étonnant et super dynamique, un son électro et une chanteuse déjantée.
Au tour des Surfer blood de jouer, concert que j’ai vu quasiment en intégralité sous la pluie. Cela fait du bien aux oreilles de retrouvé du nouveau son aux influences beach rock ! Surtout avec un groupe pas prise de tête, chanteur munis de bottes et k-way.
Petit tour à la grande scène pour voir The Computers, un Band qui m’a fait pensé à Grease (bal de promo) avec leurs costumes accordés et leur banane sur la tête. Mais dont pas mal de chansons ont une touche métal. A ré-écouter !
Rapide passage à la scène Pression live à cause de la distance à parcourir… pour voir Ms Mr et l’exposition Rock’Art. Ballade à travers les stands pour quelques clichés.
Les Eels ont tout déchiré à la grande scène, découverte rock pour moi ! Ils nous ont balancé du super son ! Et ce malgré leur look joggings largement sponsorisés…
Découverte également pour ce groupe qui propose une super mise en scène avec le piano à queue au milieu de ce son électro et leurs masques. Pendant ce concert, mon attention était surtout portée sur une petite fille (environ 8ans) au blouson cuir noir qui faisait semblant de mixer sur une platine avec un casque anti-bruit, j’sais pas si on peut dire « air platine » ???! Elle était au top !
Et le festival s’est terminé sur une note plus métal avec System of a down qui ont bien assuré. Je crois que vous les connaissez déjà ! Mais c’est toujours difficile de terminé trois jours de festival/camping sur un gros concert, physiquement parlant.
Dernière soirée au camping, et le lundi il a fallu plier bagages et quitter le parc de Saint Cloud avec une certaine nostalgie, des images plein la tête.