Vendredi 13 mars dernier, les Last Train ont ouvert le concert des Triggerfinger au Noumatrouff (Mulhouse). C’est un contrat dûment rempli pour le jeune groupe alsacien. Leur progression sur scène est fulgurante depuis un an et bien mise en valeur dans cette salle au son de qualité. La note est donnée dès le départ, du rock bien fort, une voix éraillée voire écorchée. Très vite, c’est le single Cold Fever (making of clip: ici) qui est joué, titre efficace qui augmente de suite la température dans la salle. De nouvelles chansons tiennent les promesses du single, offrant un live puissant et sans demi mesure avec des titres longs, alternant les rythmes sans s’essouffler. Un aperçu très remarqué de leur dernier single, Leaving you now dont le clip est sorti depuis peu (ici). Les quatre alsaciens donnent tout. Antoine a la batterie montre un jeu précis et puissant, Tim une ligne de basse efficace, Julien bien présent à la guitare mais la tête dans une réalité parallèle et Jean-Noël dont l’émotion est palpable à la fin du show déchaîné avec sa superbe Fender Coronado. Aucun répit pour le public, les titres s’enchaînent et c’est déjà fini. Heureusement la suite du concert n’est pas assurée par n’importe qui mais ça on en parle la semaine prochaine !
Last Friday March 13th, Last Train opened Triggerfinger’s concert at Noumatrouff (Mulhouse, France). Well completed contract for the young Alsacian groupe. How amazing progress on stage since last year, especially in that hall with that sound quality. The keynote is given at the beginning, strong rock and hoarse voice. Quickly we heard the single Cold Fever (making of here), effective song that increase temperature in the hall. New songs keep their promises, giving a powerful show without half measure but long songs, alternating different rythms. A well conspicuous entrance for the last single, Leaving you now, whose clip has been released few weeks ago (here). The four boys give all. Antoine at the drum with a precise and powerful game, Tim and his effective bass line, Julien present but the head his own world, and Jean-Noël whose emotion is perceptible but so wild with his Fender Coronao. No rest for the public, songs follow on and it’s already over.